notre mission
Aider les enfants les plus vulnérables de notre société à se reconstruire

LA PETITE HISTOIRE DE LA FONDATION LE PETIT BLANCHON
Depuis plus de 40 ans, M. Guy Boutin, homme d’affaires et président de Trimco Immobilier, se consacre à la cause des enfants les plus vulnérables de notre société.
En 2011, il crée la Fondation Le Petit Blanchon, qui vient en aide aux enfants victimes de mauvais traitements physiques, psychologiques et sexuels, de négligence grave et d’abandons répétitifs.
Une rencontre déterminante entre Jacques Laforest, alors directeur général du Centre jeunesse de Québec – Institut universitaire et lui est à l’origine des deux premiers projets réalisés par la Fondation, soit La Maison Le Petit Blanchon (lien vers la page) et Le Phare du Blanchon. (lien vers la page) Grâce à des équipes dévouées d’intervenants du CIUSSS de la Capitale-Nationale, des enfants polytraumatisés ont accès à des soins spécialisés au sein de milieux de vie sécuritaires, adaptés à leurs besoins spécifiques, et favorables à leur épanouissement et leur « reconstruction ».
Soucieux de dépister et de prévenir les stress toxiques qui empêchent le sain développement de ces enfants fragilisés, la Fondation Le Petit Blanchon travaille présentement en collaboration étroite avec le Centre de pédiatrie sociale de Québec (lien vers la page) afin de construire une troisième maison qui accueillera les familles en situation de vulnérabilité.
LA MISSION DE LA FONDATION LE PETIT BLANCHON
Depuis 2011, la Fondation Le Petit Blanchon soutient des projets qui visent à améliorer la qualité de vie des enfants vivant des situations critiques, qui affectent leur épanouissement et risquent de compromettre leur avenir.
Depuis sa création, la Fondation a redonné plus de 2 500 000 $ pour aider les enfants les plus vulnérables de notre société à se « reconstruire ».

prendre soin de nos enfants. »

LES DISTINCTIONS DE LA
FONDATION LE PETIT BLANCHON
Depuis 2012, la Fondation Le Petit Blanchon est membre du parcours des Porteurs des droits de l’enfant selon la convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies.
Trimco Immobilier, société dirigée par M. Guy Boutin, président-fondateur de la Fondation Le Petit Blanchon, a remporté le lauréat des Fidéides 2013 de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec dans la catégorie « Affaires et engagement social ».
En février 2025, M. Guy Boutin, président-fondateur de la Fondation Le Petit Blanchon, s’est vu décerné la Médaille du couronnement du roi Charles III par le député fédéral de Charlesbourg-Haute-Saint-Charles, Pierre Paul-Hus, pour son grand dévouement envers la cause des enfants maltraités, négligés et abandonnés.

conseil d'administration
guy boutin

Le Petit Blanchon en 2011
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Une culture du « donner au suivant » « Faire preuve de générosité à l’égard d’autrui et donner au suivant, telles sont des valeurs qui font partie de ma famille depuis toujours. C’est ce que mes parents m’ont enseigné, et c’est ce que je transmets aussi à mes enfants, confie Guy Boutin. La Fondation Le Petit Blanchon que j’ai créée en 2011 constituera l’héritage que je laisserai à mon départ. » L’homme d’affaires, bien connu comme promoteur et développeur dans le domaine de l’immobilier commercial, notamment dans le secteur Lebourgneuf, ainsi que du côté résidentiel avec L’Adresse sur le Fleuve, à Trois-Rivières, contribue depuis plusieurs décennies à la cause des personnes dans le besoin, adultes et enfants. « Ceux qui me connaissent savent que c’est dans ma nature, ça fait partie de ma culture familiale. C’est devenu plus officiel avec la fondation, qui s’occupe plus spécifiquement, dans deux maisons, d’une vingtaine de jeunes de 3 à 13 ans qui ont connu un départ difficile dans la vie et qui y sont en transition vers des familles d’accueil. » En regardant le travail accompli depuis les débuts, Guy Boutin se félicite d’offrir à la communauté une fondation qui est l’une des rares à ne soustraire aucuns frais de gestion et d’administration aux dons recueillis, l’entièreté des dépenses étant assumée par son entreprise, Trimco Immobilier, sauf les salaires du personnel des deux maisons, payés par le CIUSSS de la Capitale-Nationale. « Nous avons aujourd’hui un intéressant actif de 2,5 M$ et aucune dette. Pour résumer notre contribution, je me plais à dire qu’on reconstruit des enfants. Et c’est une mission extrêmement valorisante, car ils font partie de la société de demain. »LYNE BOIVIN

Membre du C.A. de la Fondation Le Petit Blanchon depuis (année à venir)
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« Les enfants, la cause qui me tient le plus à cœur ! » « La cause des enfants, surtout ceux qui vivent des difficultés, m’a toujours beaucoup interpellée dans la vie, car ceux-ci sont très vulnérables, incapables de se défendre en cas d’abus, alors qu’ils ne demandent qu’à être aimés », confie Lyne Boivin, l’adjointe administrative et bras droit de Guy Boutin depuis 2008. Elle est toutefois en poste dans l’entreprise depuis 2003, à son arrivée à Québec en provenance de son Lac-Saint-Jean natal. Elle se trouvait donc aux premières loges lorsque son patron a mis sur pied la Fondation Le Petit Blanchon. Très heureuse du choix de cette cause, elle s’est aussitôt impliquée à tel point qu’elle a été invitée à faire partie du conseil d’administration, ce qu’elle a accepté avec empressement. Femme de cœur reconnue pour son intégrité et sa générosité, Lyne participe donc depuis les touts débuts au développement et à l’administration de l’organisme, s’occupant plus particulièrement du « Noël des Enfants » depuis 2006, « car monsieur Boutin leur réservait déjà quelque chose de spécial dans le temps des fêtes bien avant la Fondation », ajoute-t-elle. Chaque fin d’année, elle coordonne une équipe de bénévoles pour réaliser le rêve d’environ 200 enfants référés par des organismes, qui sont conduits par autobus jusqu’au Toys’R’Us des Galeries de la Capitale pour y choisir le cadeau tant désiré. Mme Boivin est également responsable du bulletin Info Blanchon qui paraît quatre fois par année : janvier, mars, juin et septembre. On y parle des activités de la Fondation, de l’implication des personnes, organismes et entreprises, ainsi que des enfants de chacune des maisons. Son rôle consiste à recueillir les informations avant d’envoyer le tout à la rédaction, puis au montage infographique. Bref, une bénévole dans l’âme qui ne compte pas les heures !DIANE GUÉRARD

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Une carrière au service des jeunes en difficulté
À 16 ans, Diane Guérard commence à œuvrer dans des camps de jour de la ville de Québec, et plus particulièrement dans des quartiers défavorisés. Au terme de quelques étés, elle sait à quoi elle veut consacrer sa carrière : aider les personnes les plus vulnérables de notre société. Après des formations en éducation spécialisée et en orthopédagogie, elle travaille d’abord auprès de la clientèle adulte en santé mentale et par la suite, auprès des jeunes en difficultés au centre d’accueil L’Escale. Elle gravit progressivement les échelons, obtient une maîtrise en gestion, et lorsque sept établissements fusionnent pour former le Centre jeunesse de Québec, elle devient directrice de plusieurs services dédiés à la clientèle jusqu’à sa retraite en 2010.
Un an plus tard, son amie Louise Bolduc lui parle du projet que caresse le promoteur Guy Boutin, qui souhaite créer une fondation à l’intention des jeunes les plus vulnérables de la région, et plus spécifiquement en bâtissant une maison pour des petits de 3 à 9 ans qui ne peuvent demeurer dans leur famille naturelle ou d’accueil en raison de leurs difficultés. C’est un coup de cœur pour Diane, qui accepte aussitôt d’être membre du C. A.
« Je connaissais bien la problématique ainsi que le fonctionnement du Centre jeunesse, c’était pour moi une opportunité extraordinaire d’allier des services publics à une fondation privée, ce qui n’existait pas dans notre région. »
À la Fondation, c’est Diane Guérard qui fait le lien avec le CIUSSS de la Capitale-Nationale, qui réfère les jeunes et offre les services cliniques.
« Je dis souvent que j’ai le bonheur d’avoir pu contribuer à la création de deux foyers de groupe innovateurs et uniques, adaptés aux besoins particuliers de ces jeunes, un luxe que le réseau public ne peut s’offrir. Notre but est de tout mettre en œuvre en collaboration avec le CIUSSS afin de permettre à ces enfants polytraumatisés de se reconstruire et de pouvoir retourner dans leur famille ou d’intégrer une famille d’accueil stable. »
LOUISE BOLDUC

Propriétaire de Placement de Personnel Louise Bolduc Membre du C.A. de la Fondation Le Petit Blanchon depuis 2011
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« Il faudrait des maisons Le Petit Blanchon un peu partout » Spécialiste bien connue du recrutement et placement de personnel à titre de propriétaire de la firme qui porte son nom, Louise Bolduc a été parmi les premières personnes informées du projet de la Fondation Le Petit Blanchon. « C’est mon conjoint Luc Gagnon, qui est associé à Guy Boutin, qui m’en a parlé et qui m’a suggéré de le rencontrer, raconte Mme Bolduc. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Quand j’ai su qu’il s’agissait d’aider les petits enfants ayant vécu de gros traumatismes, j’étais enthousiaste à l’idée d’y contribuer. Quand les planètes s’alignent, tout se met en place ! Les personnes vulnérables m’ont toujours interpellée, et plus particulièrement les enfants en bas âge, car ils sont tellement sans défense, ajoute-t-elle. À l’adolescence, j’œuvrais déjà dans des organismes voués aux enfants, et plus tard, pendant que je faisais partie du conseil d’administration de Moisson Québec, je ne perdais pas de vue la cause des tout-petits vivant des difficultés. Mon souhait s’est à ce moment réalisé. » Louise Bolduc a mis la machine en marche en contactant immédiatement sa bonne amie Diane Guérard, nouvellement retraitée après trois décennies au Centre jeunesse de Québec. « Je lui ai présenté la mission du Petit Blanchon, et elle était aussi enthousiasmée que moi ! J’ai ensuite joint mon ami Jean Martel, qui a également fait preuve d’un grand intérêt. C’est ainsi que l’équipe a pris son envol, car l’organisme avait déjà été mis en place par Guy ainsi que Dennis Harrington, décédé en 2016. » Entre autres activités auxquelles elle a contribué à la fondation, Louise s’est particulièrement occupé d’organiser la soirée musicale La Blanche et la Noire, qui s’est tenue avec succès de 2014 à 2018, soit durant cinq éditions. Son vœu le plus cher ? Que la fondation en inspire d’autres pour le bénéfice de cette clientèle qui en a grand besoin.KARYNE GIGUÈRE

Ex-chef de service de la Maison Le Phare du Blanchon, Membre du C.A. de la Fondation
Le Petit Blanchon depuis (année à venir)
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Le désir d’aider depuis l’enfance Dès l’école primaire, Karyne Giguère avait au fond d’elle ce désir de venir en aide à ceux et celles qui n’avaient pas eu autant de chance qu’elle. « Je me souviens d’avoir contribué à nombre de téléthons Le Noël du Bonheur, je recrutais des amies pour recueillir des dons et des denrées par du porte-à-porte. Je me rappelle aussi qu’avec mon express, je faisais des tournées de denrées, de vêtements chauds et de jouets que j’allais remettre au curé de ma paroisse, à Beauport. Mon bénévolat s’est poursuivi au secondaire, notamment pour la Croix-Rouge et des organismes communautaires. » C’est donc sans surprise que Karyne s’oriente vers l’éducation spécialisée, ce qui correspond à son désir d’aider les enfants les plus vulnérables. Elle fait son stage dans un foyer de groupe pour adolescents de 15 à 18 ans et a un coup de cœur pour les services qu’on y offre. S’ensuivra une carrière de 25 années au sein des centres jeunesse, 10 ans comme intervenante puis à titre de gestionnaire. Mme Giguère a été nommée chef de service au Phare du Blanchon à l’ouverture en 2015, assumant cette fonction jusqu’en 2021. Ce foyer situé en montagne, en milieu rural, est unique en son genre au Québec. Dans cette belle maison, tout est conçu pour faire de la réadaptation d’exception, en reproduisant le mieux possible un environnement familial normalisant. Les jeunes s’y sentent rassurés et apaisés, ils constatent que des adultes s’occupent d’eux sans leur faire de mal, ce qui leur permet de développer des habiletés relationnelles, de façon à mieux fonctionner par la suite en société. Le parcours et l’expérience de Karyne sont donc irremplaçables au sein du conseil d’administration de la fondation pour mieux comprendre ces jeunes qui sont au cœur de sa mission.André jacques

Retraité au terme d’une carrière dans le secteur financier, Membre du C.A. de la Fondation
Le Petit Blanchon depuis 2011
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Un trésorier au grand cœur
André Jacques a consacré sa carrière au monde de la finance. Il a d’abord travaillé pendant près de 20 ans pour Desjardins dans la région d’Ottawa avant de se retrouver à la Banque Laurentienne à Québec, où il occupera les postes de directeur et de vice-président adjoint, étant notamment responsable de sept succursales. Entre ces deux étapes, il a connu un intermède de cinq années comme vice-président d’un groupe de résidences d’aînés. Il est retraité depuis mai 2019.
Jacques a été le tout premier administrateur de la fondation. « Guy Boutin était un client de notre banque, explique-t-il. Lors d’une rencontre, il m’a présenté les grandes lignes de son rêve, celui d’une fondation vouée au bien-être des enfants polytraumatisés par la vie. Je me suis donc aussitôt lancé dans l’aventure étant donné que l’implication sociale fait partie de moi. J’ai donné de mon temps dans nombre d’organismes communautaires, j’ai même fondé un club Optimiste au début de ma carrière. Encore aujourd’hui, je suis président et trésorier d’un immeuble à condos. Je précise aussi que la fondation gagnait en crédibilité en nommant au poste de trésorier un spécialiste provenant du secteur bancaire. »
Mis à part la trésorerie, André Jacques a le bonheur, depuis plusieurs années, d’enfiler le costume du père Noël lors de la remise des cadeaux aux Galeries de la Capitale. « La pandémie m’a forcé à une pause de deux ans, mais j’ai repris mon rôle avec plaisir en décembre 2022, se réjouit-il. Bref, au sein de la fondation, je contribue à une cause moins connue, mais qui vaut le coup d’être soutenue. J’ai toujours cru que nous pouvons faire une différence pour ces jeunes éclopés afin de leur permettre de croire en la vie. »
Père Mariste Jean Martel

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Une vie consacrée à l’éducation et au soutien des jeunes Pendant toute sa vie adulte, le père Jean Martel s’est dévoué concrètement dans le monde de l’éducation pour donner aux jeunes les outils nécessaires pour se développer et se sentir bien dans leur peau, bref être heureux. « Ça fait partie de l’éducation et la formation que nous avons reçues comme maristes, rappelle-t-il. Je me suis toujours dit que je n’empêcherais jamais un jeune d’étudier faute d’argent. » Il a été directeur pédagogique dans deux établissements pendant un certain nombre d’années, notamment au Collège mariste de Québec, où il fait toujours partie de la fondation de l’institution. Enseignant retraité, il continue néanmoins d’accueillir chaque matin d’école pendant une heure à la porte de l’établissement les élèves à leur arrivée, beau temps mauvais temps, ce qu’il avait commencé à faire durant la pandémie. Il était donc naturel pour Jean Martel d’accepter, en 2011, l’invitation d’un membre du conseil d’administration qui le connaissait à se joindre à l’équipe de la Fondation Le Petit Blanchon. Son enthousiasme lui a permis d’amasser dès la première année le triple de l’objectif de 10 000 $ en dons, ce qui lui a valu d’être nommé gouverneur, une reconnaissance qui bouscule sa grande modestie. « Si j’ai recueilli plus de 300 000 $ en dons depuis mon arrivée à la fondation, c’est d’abord pour aider les jeunes dont nous nous occupons, et ensuite pour créer un effet d’entraînement chez mes collègues ambassadeurs, dit-il simplement. J’organise plusieurs activités durant l’année pour inviter les gens à contribuer à cette noble cause. Je veux que ces jeunes soient heureux et qu’ils partent du bon pied, ça a été toute ma vie, conclut-il. Et je fais tout ce que je peux pour y contribuer concrètement. »Madeleine Poirier

Le Petit Blanchon depuis 2011
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Profession : bénévolat « Si le bénévolat n’est pas payé, ce n’est pas parce qu’il ne vaut rien, mais parce qu’il n’a pas de prix. » Cette citation de la psychologue américaine Sherry Andersen convient parfaitement à la doyenne du conseil d’administration de la Fondation Le Petit Blanchon, Madeleine Poirier, « Mado » pour ses collègues et bien des gens qui ont bénéficié de son amour du service. Connaissant Guy Boutin de longue date, elle donnait même de son temps à l’époque de l’organisme Mon Oncle d’Amérique que le promoteur avait mis sur pied. « Je viens de Chicoutimi, j’ai toujours fait du bénévolat, c’est toute ma vie, j’adore ça ! Je suis une très bonne vendeuse, explique la principale intéressée. Quand quelqu’un avait quelque chose à vendre pour une bonne cause, on appelait Mado ! Je me proposais tout le temps comme bénévole. Étant donné que j’ai toujours aimé les enfants, je me sens vraiment à ma place au sein de la fondation. Quand M. Boutin m’a proposé d’y contribuer, j’ai donc accepté avec joie. » Depuis les touts débuts de l’organisme, le degré d’implication de Mme Poirier n’a jamais fléchi. La fondation peut toujours compter sur elle : Madeleine est de tous les événements, de toutes les levées de fonds, que ce soit lors des activités de financement ou le Noël des enfants en passant par la vente d’articles promotionnels au kiosque du Blanchon. « Je participe aussi au tournoi de golf organisé par le père Martel pour amasser des sous. » Généreuse de son temps, souriante et joviale, Mado est une bénévole extrêmement dévouée à la cause des enfants en difficulté.MARIE-JOSÉE TURCOTTE

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En avant la musique pour la cause des enfants Œuvrant depuis plus de 30 ans dans le monde de l’édition, Marie-Josée Turcotte était bien connue à Québec pour son rôle d’éditrice et rédactrice en chef du magazine Prestige, de 2008 à 2023. C’est grâce à son conjoint et ex-copropriétaire du magazine, Pierre Paul-Hus, aujourd’hui député fédéral, qu’elle a connu Guy Boutin en 2012, alors que la fondation venait d’être créée. « Guy avait demandé à Pierre d’être ambassadeur et à ce titre, il devait proposer une activité de financement, explique Marie-Josée. J’ai alors pensé à un karaoké-bénéfice permettant à des personnalités d’affaires de monter sur scène pour interpréter une chanson de leur choix au profit des enfants vulnérables. La musique est rassembleuse et permet souvent de mettre un baume sur les blessures. C’était à mes yeux l’activité parfaite. » La première édition réalisée en 2012 a connu un tel succès que Guy lui a demandé de devenir ambassadrice, puis membre du C. A. Au fil du temps, l’événement s’est transformé en véritable expérience de scène pour les vedettes d’un soir, qui avaient la chance d’être accompagnées par un band live. Après trois années de pause forcée en raison de la pandémie, l’événement est revenu en force en 2024 dans une formule cabaret complètement transformée. Coorganisatrice en compagnie de la soprano Sabrina Ferland, présidente de Bellita, de Guy Boutin et de Lyne Boivin, le Cabaret du Blanchon est la nouvelle activité majeure de levée de fonds pour la Fondation Le Petit Blanchon. Détentrice d’une maîtrise en psychologie, Marie-Josée est professionnellement sensibilisée à la réalité des enfants polytraumatisés, et encore davantage parce qu’elle est mère de deux enfants. « Si je poursuis mon engagement envers la fondation, c’est que je refuse d’accepter que certains enfants aient moins de chance que d’autres dans la vie. On prend grand soin de nos enfants malades, mais nos « petits blanchons » le sont aussi, à la seule différence près que leurs blessures, tout aussi profondes, parfois plus, sont invisibles à l’œil nu. » Depuis 2025, Marie-Josée agit à titre de responsable des communications de la Fondation Le Petit Blanchon.CLAIRE PIMPARÉ

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C’est en 2012 que Claire Pimparé est approchée par son amie de longue date, Marie-Josée Turcotte, membre du conseil d’administration de la Fondation Le Petit Blanchon, afin de jouer un rôle essentiel pour la Fondation : celui de porte-parole. Ayant toujours eu à cœur la cause des enfants, la célèbre Passe-Carreau accepte la proposition sans hésiter.
C’est ainsi que de 2012 à 2022, elle jouera son rôle avec sérieux et grand dévouement. Présente à tous les événements de la Fondation, elle contribuera, par son charisme et sa bienveillance naturelle, à faire connaître la mission essentielle de la fondation, contribuant ainsi à sa notoriété.
Bien qu’elle ait pris sa retraite en 2022 en tant que porte-parole, après s’être dévouée bénévolement pendant dix ans, Claire Pimparé a réitéré tout son amour envers la cause des enfants en acceptant, en 2024, à l’occasion de la première édition du Cabaret du Blanchon, de devenir marraine pour la Fondation Le Petit Blanchon.
« J’ai la Fondation Le Petit Blanchon tatouée sur le cœur, exprime spontanément celle que l’on appelle encore aujourd’hui Passe-Carreau. En fait, une fois qu’on a compris quelle est la mission de la Fondation et comment elle prend soin des enfants les plus en détresse de notre société, elle nous habite pour toujours. Chaque fois que j’ai l’occasion de porter le message de la Fondation, je cherche à toucher le cœur des gens afin que la Fondation, comme ce fut le cas pour moi, ne les quitte plus jamais. »
Pour le plus grand bonheur de tous et de toutes, Claire continuera de promouvoir la mission essentielle de la Fondation Le Petit Blanchon à titre de marraine chaque fois qu’elle en aura l’occasion.

Sur la photo : Guy Boutin, président-fondateur de la Fondation Le Petit Blanchon, Claire Pimparé, marraine de la Fondation, Lyne Boivin et Marie-Josée Turcotte, membres du C.A.
Un vibrant hommage a été rendu à Claire Pimparé en mai 2023 afin de la remercier pour ses dix années de dévouement à titre de porte-parole pour la Fondation Le Petit Blanchon.
Rapports annuels
Rapport annuel 2022-2023
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2023
Rapport annuel 2021-2022
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2022
Rapport annuel 2020-2021
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2021
Rapport annuel 2019-2020
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2020
Rapport annuel 2018-2019
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2019
Rapport annuel 2017-2018
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2018
Rapport annuel 2016-2017
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2017
Rapport annuel 2015-2016
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2016
Rapport annuel 2014-2015
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2015
Rapport annuel 2013-2014
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2014
Rapport annuel 2012-2013
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2013
Rapport annuel 2011-2012
Préparé par Lemieux Nolet C.A. au 31 mai 2012
DONATEURS ET PARTENAIRES
La Fondation Le Petit Blanchon a la chance d’être soutenue par des gens et des entreprises de cœur. Ces donateurs et ces partenaires représentent les piliers de la Fondation Le Petit Blanchon.
LES GRANDS DONATEURS
Ils ont généreusement contribué à améliorer la vie des enfants les plus vulnérables de notre société en faisant des dons totalisant 50 000 $ et plus depuis le début de leur engagement.
Merci du fond du cœur à :



















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- Bouquinnerie Nouvelle-Chance
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Journal Les Rivières
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- Le Magazine Prestige
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- Roch Laberge Électrique
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- Tanguay
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Les partenaires du Phare du Blanchon et de La Traversée du Blanchon –
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- Allen Entrepreneur Général
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- BLA Architectes
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